Voici un article sur la société EMR rédigé par le Docteur Sébastien Sarramegna, Biologiste, Associé :

EMR : Tout l'environnement de la mine et du lagon

Comment concilier activités économiques et protection de l’environnement ou exploitation selon les règles d’un développement durable ?
EMR offre aux porteurs de projets, privés ou publics, la compétence et la disponibilité d’une équipe d’ingénieurs et de techniciens connaissant parfaitement le terrain et s’engageant dans la durée.
Challenge pour ces scientifiques : le risque de banalisation de leurs travaux ou, à défaut decadre réglementaire, leur réalisation par des sociétés, des organismes de formation ou de recherches, ne disposant pourtant pas des capacités nécessaires pour les porter, en particulier dans le temps.

Voici un article sur la société EMR paru dans la revue DKLE d'octobre/novembre 2009 :

Environnement de la mine au récif. La mission que c’est confiée le bureau d’étude EMR-partie intégrante du groupe Mine-R-Eaux-est déjà inscrite dans la signification de ces trois lettres. Son cœur de métier : mener des études d’impact, recenser différentes ressources naturelles de la Nouvelle Calédonie, et s’assurer de la préservation ou de la réhabilitation de certains milieux et écosystèmes fragiles ou fragilisés. Les compétences des 23 spécialistes d’EMR sont mises en œuvre dans cinq domaines : l’environnement naturel ou industriel, les mines et carrières, les ressources marines, le volet social et les communautés et enfin l’eau. Ce dernier secteur fait désormais partie des grands enjeux d’une Nouvelle Calédonie attachée à ses activités économiques autant qu’à sa nature riche et délicate.

Voici un article sur la transplantation corralienne paru dans l'AFP du 26 janvier 2009 :

Concilier récif inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco et industrie minière est une gageure en Nouvelle-Calédonie où les géants du nickel se sont lancés dans la transplantation de coraux pour éviter de les détruire.
Le groupe brésilien Vale, qui construit dans le sud de l'archipel une usine métallurgique d'une capacité de 60.000 tonnes annuelles de nickel, s'est jeté à l'eau le premier.
En 2006, pour la première fois en Nouvelle-Calédonie et dans l'industrie minière, quelques 2.000 colonies coralliennes ont été déménagées pour être réimplantées dans des zones, éloignées des pollutions industrielles.

La Province sud nous avait demandé des mesures de compensation dans le cadre de la construction du port. Ce sont essentiellement les mouvements de bateaux, qui allaient endommager les coraux", a indiqué à l'AFP, Catherine Guillaume, en charge des relations externes de Valeinco Nouvelle-Calédonie.

Voici un article sur la société EMR paru dans la revue Environnement de mars 2009 :

EMR : L'Environnement de la mine au récif

Le renforcement de la prise de conscience environnementale des mineurs s’est concrétisé dernièrement par l’adoption au Congrès du tant attendu schéma de mise en en valeur des richesses minières. L’environnement prend une place majeure dans ce dispositif réglementaire, avec notamment une intégration en amont des projets. En raison de leurs massifs, des creeks et des baies jusqu’au récif. Il devient alors indispensable de développer de nouveaux outils pour répondre à ces nouvelles pratiques.
La société EMR, filiale de la société Mine-R-Eaux, entend devenir un acteur important de l’ingénierie minière. Nous vous proposons, à travers cinq réalisations concrètes, une sorte de patchwork écologique, qui permet d’appréhender les enjeux d’un développement minier raisonné.

Voici un article sur la transplantation corallienne dont EMR est à l'initiative et qui est paru dans le journal le Monde du 3 février 2009 :

En Nouvelle-Calédonie, les géants du nickel déplacent les coraux pour ne pas les détruire

recif_le_mondePeut-être les dieux ont-ils été trop généreux ? Non seulement la Nouvelle-Calédonie abrite près d'un quart des ressources mondiales de nickel, mais elle est aussi sertie d'une barrière de corail, inscrite en juillet 2008 au patrimoine mondial de l'humanité de l'Organisation des Nations unies pour la science, l'éducation et la culture (Unesco). Faire cohabiter cette industrie lourde et l'exceptionnelle biodiversité du "Caillou" est un véritable défi.

Lire l'article

Page 3 sur 3

Please publish modules in offcanvas position.